Après le somptueux Samson de Handel et le poignant Saul sous la direction inspirée de Leonardo García Alarcón, voici un autre oratorio vivifiant avec les merveilleux ensembles ? Namurois en grands effectifs aux côtes du continuo de Cappella Mediterranea.
Le Chœur de Chambre de Namur et le Millenium Orchestra placés sous la direction de Leonardo García Alarcón livrent une éclatante version, poétique et raffinée mais aussi électrisante et imaginative de l’assez rare oratorio Solomon de Haendel.
Organiste et claveciniste, Leonardo García Alarcón propose un voyage inédit à travers pièces vocales et musiques pour orgue. Il nous invite à explorer l’art de l’improvisation et de l’ornementation des grands claviéristes et compositeurs européens des XVIIe et XVIIIe siècles !
Pour son 4e Festival Haydn-Mozart, Gli Angeli Genève jouera «Paulus» de Mendelssohn sous la direction de Leonardo García Alarcón.
Parce que sa fiancée Konstanze est souffrante, Mozart décide, en 1782, de composer ce qui restera une exception dans sa production religieuse : une œuvre votive. « J’ai fait cette promesse dans mon cœur » confie-t-il à son père. Ainsi naît la Grande messe en ut qui, bien que laissée inachevée, fait preuve d’une rare puissance d’expres sion : y voisinent airs et duos à l’italienne, souvenirs de Bach ou de Haendel dans des séquences chorales saisissantes, mais, surtout, l’épaisseur dramatique et humaine, l’angoisse et la lumière qui annoncent le Requiem ou La Flûte enchantée.
Leonardo García-Alarcón, invité régulier de l’Orchestre Philharmonique de Radio France, partage une poignée de chefs-d’œuvre depuis le clavecin, avec ses fidèles du Philhar, dans l’esprit des concerts du café Zimmerman qui firent florès, à Leipzig, à l’époque de Bach. L’amitié en musique, rien d’autre.
Les Violons du Roy accueillent à nouveau Leonardo García Alarcón avec qui l’orchestre a entre autres remporté le prix Opus du concert de l’année 2018 à Québec. Le vif chef argentin propose sa vision magistrale de la musique de Piazzolla pour un concert flamboyant en compagnie des extraordinaires solistes Mariana Florès, William Sabatier et Louise Bessette.
Leonardo García Alarcón reprend avec le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris le premier opéra-ballet d’Henry Purcell : Dido and Æneas
Quelques jours après sa dernière représentation sur la scène de l’Opéra Bastille, Les Indes galantes, l’opéra de Jean-Philippe Rameau, s’est retrouvé sur celle de la Grange au Lac dans une version de concert. Premier des six opéras-ballets de Jean-Philippe Rameau, Les Indes Galantes sont l’un des chefs-d’œuvre absolus de la musique baroque. De l’aveu du chef Leonardo Garcia Alarcon, l’ouvrage (créé en 1735) est une prodigieuse ≪ machine a enchanter ≫.