Amour, drame et trahison sous le soleil de Sicile, entre mélodies populaires et pièces des grands compositeurs du premier, Leonardo García Alarcón renoue, non sans délectation, avec l’art du pastiche.
Arcadelt a hérité à Namur de la technique des Franeco-flamans. À Florence, il a acquis l’élégance dans l’écriture musicale poétique, à Rome le contrepoint somptueux des grands espaces et à Paros les échos de la danse, de la musique de cour et de la chanson.
Chouchane Siranossian dirige Cappella Mediterranea en formation réduite pour nous amener à la redécouverte de deux génies de la musique baroque : Antonio Vivaldi et Giovanni Battista Pergolesi.
La musique baroque, et singulièrement celle de Handel, a été reprise en mains depuis une quarantaine d’années par des interprètes en quête d’authenticité jouant avec des instruments et un style d’époque.
Organiste et claveciniste, Leonardo García Alarcón propose un voyage inédit à travers pièces vocales et musiques pour orgue. Il nous invite à explorer l’art de l’improvisation et de l’ornementation des grands claviéristes et compositeurs européens des XVIIe et XVIIIe siècles !
Omar Porras, directeur du Théâtre Kléber-Méleau à Lausanne, invite Leonardo García Alarcón et Cappella Mediterranea pour une carte blanche, une création autour de leurs racines sud-américaines.
Leonardo García Alarcón a eu l’idée de concevoir un programme musical autour des “Cancioneros” d’une richesse inépuisable, de la région de Valencia, Aragon et Catalunia, pour créer une grande évocation de ce mélange de styles tellement typique de la catalogne.
Leonardo García Alarcón entreprend de nous faire entendre ces pages festives issues d’un baroque témoignant de la rencontre féconde entre rythmes espagnols et couleurs amérindiennes.
De la Castille à la Calabre, de Mantoue à Vienne, de Rome à Paris, c’est l’album de voyage du Baroque européen que feuillette Cappella Mediterranea emmenée par Leonardo García Alarcón.