Le mélange de sacré et de profane, de spiritualité et de passion caractérise l’esthétique du Nouveau Monde baroque. Il n’est qu’à suivre l’élan choral pour se jeter, à corps perdu, dans le brasier !
Officiellement, Bach n’a jamais composé d’opéra. Pourtant, la force dramatique de sa Passion selon saint Matthieu saisit l’auditeur de plein fouet — surtout lorsqu’elle est dirigée par Leonardo García-Alarcón. Réputé pour ses interprétations incandescentes de l’opéra baroque, il donne à la musique un souffle vibrant, presque organique. « Inégalable », écrivait le NRC, « il était impossible d’y échapper » : pour entendre la passion à l’état pur, nul besoin d’aller chercher plus loin.
Pollux, fils immortel de Jupiter, renonce à son immortalité pour descendre aux Enfers et ramener son frère Castor à la vie. Leonardo García‑Alarcón et Cappella Mediterranea produiront cette oeuvre, où s’entrelacent amour fraternel, héroïsme et échos de guerre.
Leonardo García-Alarcón entreprend de nous faire entendre ces pages festives issues d’un baroque témoignant de la rencontre féconde entre rythmes espagnols et couleurs amérindiennes.
Pollux, fils immortel de Jupiter, renonce à son immortalité pour descendre aux Enfers et ramener son frère Castor à la vie. C’est avec le chorégraphe Edward Clug que Leonardo García‑Alarcón et Cappella Mediterranea produiront cette oeuvre, où s’entrelacent amour fraternel, héroïsme et échos de guerre.
Huit ans après le succès des Indes galantes, Leonardo García-Alarcón et Cappella Mediterranea reviennent à l’Opéra de Paris avec une pépite : une partition d’Antonia Bembo, compositrice du XVIIIe siècle dont la vie tumultueuse ressemble à un roman.
Bien plus qu’un chef régulier, un compagnon de route, un ami de longue date du Philhar, dont la relation s’est bâtie dans une confiance autorisant quelques audaces: comment expliquer sinon ces deux soirées atypiques au cour desquelles le Requiem de Mozart voisine avec Pasión Argentina de Leonardo García-Alarcón compositeur ?
Un opéra baroque captivant mêlant amour, trahisons et intrigues politiques dans la Rome antique. Mitridate, Pompée, et César s’affrontent sur fond de passions contrariées et de révélations poignantes. Une production magistrale dirigée par Max Emanuel Cencic, avec l’orchestre Cappella Mediterranea sous la baguette de Leonardo García-Alarcón.
Avec cette création Teatro dei Sensi, Cappella Mediterranea et Leonardo García Alarcón nous offrent un panorama des opéras vénitiens de Francesco Cavalli.