Cappella Mediteranea

Résultat pour :
opera

Cavalli, Elena

Avant d’être «de Troie», Hélène était fille de Sparte et déjà la plus belle femme du monde. A seule fin de l’approcher, le roi Ménélas n’a donc rien trouvé de mieux que se travestir en Amazone adepte de la lutte olympique ! Mais il a des rivaux : le roi Thésée et le prince Ménestée brûlent aussi de désir pour la belle. C’est à qui l’enlèvera le premier, fût-ce au prix d’une course-poursuite sur terre et sur mer.

Cavalli, Eliogabalo

“C’est dans la fosse qu’il faut chercher la folie, la sensualité, la luxuriance et l’ivresse, magnifiquement restituées par le chef et sa Cappella Mediterranea.” – Télérama

Cavalli, Erismena

Qui pourrait trouver ennuyeuse une musique aussi diverse, aussi capable de se parer de couleurs changeantes de minute en minute pour mieux parcourir toute une gamme d’affects ? Cappella Mediterranea pleure ou rit, danse ou gémit tour à tour, aussi bien que les chanteurs qu’elle a à soutenir.

Cavalli, Il Giasone

“La mise en scène est une pure merveille de vaudeville baroque, sans temps mort, si bien que les trois heures et demi que dure la soirée ne paraissent jamais longues”. – Christian Merlin pour Le Figaro.

Charpentier, Médée

“Pour le rôle de Médée, tout est mis sur scène, avoué, et doit être vécu avec une puissance tragique totale. La magicienne peut conduire les uns et les autres, mais être à la fois la victime de tout le monde. Avec Médée, on plonge dans un enfer qui va plus loin que tout ce qu’on peut imaginer.” – Leonardo García Alarcón

Draghi, El Prometeo

El Prometeo du compositeur italien Antonio Draghi est représenté pour la première fois depuis le 22 décembre 1669, sortant de l’ombre et complété (acte III) par le talentueux Leonardo García Alarcón pour l’Opéra de Dijon.

Durón, deux opéras

Sebastian Durón, compositeur espagnol, auteur d’ouvrages religieux et d’opéra était, avec Antonio de Literes, auteur de la meilleure musique de scène de son temps. Deux de ses pièces lyriques, rarement interprétées, vont trouver naturellement leur place au Théâtre de La Zarzuela à Madrid.

Haendel, Alcina

“Alcina est une figure qui permet de mettre en scène l’ambivalence émotionnelle, très appréciée à l’époque baroque. Elle fascine. C’est à la fois la beauté incarnée, et , si on la regarde de plus près, un monstre. Nous avons beaucoup travaillé sur cette ambiguïté et la façon dont elle passe de la beauté à la décrépitude, dans le livret comme dans la musique”. Leonardo García Alarcón

Haendel, Alcina

En février 2016, Cappella Mediterranea a assuré le continuo sur cette production de l’Opéra de Genève dirigée par Leonardo García Alarcón avec l’Orchestre de la Suisse Romande.