« Si ce programme est surtout consacré à une évocation du succès de la musique de de Rore durant les décennies suivirent son décès, il contient quelques très beaux exemples de ce qui constitue la majeure partie de son œuvre : le madrigal. Outre l’incontournable Ancor che col partire dans sa version originale à quatre voix, citons le délicieux Io canterei d’amore, dont la qualité de la mélodie supérieure permet que seule cette voix soit chantée alors que les autres sont confiées aux instruments. Le texte est de Pétrarque, l’un des poètes les plus utilisés par Cipriano. »
Jérôme Lejeune