On entend les musiques d’Alessandro Scarlatti et de Sigismondo d’India, tous deux nés à Palerme, ainsi que des œuvres issues du fonds de la cathédrale Saint-Jean de Malte, d’une richesse extraordinaire (Vincenzo Tozzi…) Leonardo García Alarcón a même composé une fugue à cinq voix sur La canzone di Cecilia , l’héroïne du drame, Quito Gato a signé les arrangements. Cet hommage à l’Italie du sud par la Cappella Mediterranea triomphe sur scène depuis des années, cet enregistrement l’immortalise.