À Propos
Un Dido and Æneas capté sur le vif à la tête d'une troupe de jeunes chanteurs doués d'une rare vitalité. Son interprétation toute en suavité s'est attachée aux liens entre Angleterre et Espagne. Entre les innovations de Purcell et la révolution monteverdienne, Carthage n'est plus si loin.
Le jeune chef argentin « au talent époustouflant » (Télérama) fait chanter « la douceur des neuvièmes, la colère desquartes, la perspicace audace d'une seconde » (Leonardo Garcia Alarcón). Un monde de couleurs s'épanouit ainsi dans cette version chamarrée, vivante, et ancrée dans notre temps. […] A de nombreux égards, c'est une interprétation idéale du chef-d'oeuvre de Purcell, avec des voix jeunes, une petit ensemble instumental, des tempos enjoués et des textures transparentes. La musique est si bien emmenée par Leonardo García Alarcón que les actes s'enchaînent avec une grande fluidité. " Guardian.co.uk, octobre 2010